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Par unangesucre dans Accueil le 19 Avril 2013 à 16:26Je vais vous conter une petite histoire qui m'est arrivé (dans mes songes je crois bien) il y a quelques temps...
Plantons tout d'abord le décor pour que vous puissiez vous plonger totalement dans la situation....
Je vis depuis quelques temps dans un vaste appartement parisien offrant de belles lumières sur l'extérieur....la tour Eiffel y amène de chaudes lumières le soir venu et l'ambiance y est des plus conviviale.
Cet appartement est le fruit d'un héritage du grand-père, grand père qui a forgé sa richesse de la force de ses mains dans la marine nationale durant sa jeunesse pour terminer dans un corps d'élite quelconque de l'état major....
Mon père suivit les traces du papy et s'enrôla (sans grande motivation) pour l'armée française où il fit finalement une carrière brillante à en croire les longs et lassant discours narrés lors des repas familiaux.
Le papy avait donc hérité de cet appartement de l'état français comme appartement de fonction dans un premier temps et de fil en aiguille, cet appartement était rentré dans le patrimoine familial par je ne sais quel tour de magie administratif.
Nous sommes un soir d'octobre, fin octobre, une sorte de mi-saison s'est installée, il ne fait pas encore tout à fait froid, mais le soleil a bel et bien fait ses valises depuis quelques jours déjà....la météo est pluvieuse, je suis seul dans mon appartement, les lumières parisiennes sont belles....
Après avoir taquiner Tendrement et Sperenza sur le forum, j'ai naturellement envie de me détendre dans un bon bain chaud et moussant accompagné d'une bouteille de Brouilly.
J'allume la radio et là, des souvenirs me font replonger dans mon adolescence, à l'époque où je rasais des poils que je n'avais pas, à l'époque où je tentais tant bien que mal de cacher cette pandémie de boutons sur mon faciès ; la raison de ce plongeon historique, une sorte de compile de rap d'antan explose du transistor, ils y sont tous, Benny B, 2 la soul, Iam, Patra, Shabba Ranks, bref tout les artistes qui ont habillé les premières soirées, les soirées où on essayait d'être les plus beaux et à cette époque, on pensait que la beauté vestimentaire suffisait ; les marques étaient adulées : Poivre Blanc, Naf-Naf, Chevignon, Waikiki et j'en passe et des meilleurs...bref une époque somme toute insouciante quand on s'y replonge mais baignée d'innocence qu'on aimerait bien retrouver finalement....
Le bain coule, le transistor effectue admirablement son travail, mes hanches commencent à battre la mesure pendant que j'entreprends de me raser...c'est si bon d'y repenser, je me laisse aller, une gorgée de Brouilly, je ferme les yeux je commence à y prendre gout...la savonnette sous mon pied, le rasoir électrique, le bain, le rasoir électrique, je bascule je me retiens, le bain, ma main glisse, je me retiens tant bien que mal....je finis dans un dernier effort dans le bain et là trou noir.........je me souviens plus de rien.....
Je me lève le lendemain matin, où je suis...dans mon lit...que s'est-il passé, je ne sais pas, enfin si je me souviens du bain, du rasoir, je me suis électrocuté oui, mais après, je sais pas....
Je me prépare comme d'habitude pour aller travailler, petit déjeuner, tartine grillés, jus de fruits, je descends de l'immeuble, j'achète l'équipe
"Bonjour madame Bertrand"
"Bonjour l'ange " me répond-elle comme à l'accoutumée
"ZzzzzzzZzzzzzzz" perçois-je
"Ben alors, on est fatigué aujourd'hui madame Bertrand"
"Non pas du tout, pourquoi vous dites ça"
"J'avais cru entendre, non laissez, je me fais des idées"
Je continue la journée comme une journée normale de boulot j'arrive au travail, exécute les taches Ô combien intéressantes quotidiennes ( si si, c'est vrai je vous assure )....l'heure du déjeuner arrive et une collègue me propose de déjeuner dans une pizzeria.
C'est une pizzeria corse, assez cachée dans la rue....il nous faut traverser un long rideau noir pour accéder à la salle de repas, l'ambiance est calme, posée, les lumières sont douces, on s'y sent à l'aise.
2 verres de porto sont commandés en guise d'apéritif....nous discutons de tout et de rien, de boulot (pas très intéressant à vrai dire…), bref je l'écoute plus ou moins, quand une petite voix, distincte de la sienne parvient à mes oreilles :
"je me sens belle toute rasée comme ça, j'espère que j'aurai une visite ce soir..."
Je me concentre pour mieux percevoir
"Que c'était bon hier soir quand ma maitresse m'a présenté son nouveau vibro, je me suis bien éclaté..."
J'entends ce que son sexe pense....
"Vous avez choisi?"
"Une figattelli " demande t-elle
moi, mon appétit a disparu
"une salade du chef, ça m'ira très bien"
Comprenez que mon repas fut assez bizarre, oui bizarre c'est le mot....une telle chose est si étrange qu'il me fallu plusieurs heures avant de l'assimiler...
Le repas s'achève....et la journée de travail également.
Je quitte mon bureau, et dans la rue j'essaye de me concentrer....et magie de l'histoire, j'entends ce que pense le sexe des femmes... incroyable!!!
Je retourne sur le forum pour me changer un peu les idées et de fil en aiguille, des dialogues se font plus précis et plus intimes avec Erika....nous décidons de nous isoler sur MSN et très vite nous arrivons à une conversation téléphonique....une deuxième fois, la bonne étoile me frappe, elle habite à 1/4 d'heure et nous convenons rapidement de nous retrouver dans un Quick que nous connaissons tous les 2....
J'arrive le premier....elle ne tarde pas à arriver (tiens je pensais que les femmes étaient moins ponctuels), vêtue d'une simple robe noire, montée de fine bretelle.
Rousse aux yeux verts, elle attire indéniablement le regard de l'assistance et une espèce de fierté s'empare de moi quand elle se dirige vers moi....
"Alors voilà le fameux ange du forum" me lance-t-elle
"Et voici la maitresse d'ecole.....tu ne veux pas aller nous commander un p'ti quelque chose et me le servir", je la défie....le jeu entamé via le site continue ici....elle me lance un regard....un regard qui vous amène une bouffée de chaleur indéfinissable..
Elle s'exécute...nous continuons à faire connaissance, l'humeur est bon enfant et du site au réel, elle est elle-même
"Le service a été excellent, je m'en voudrais de ne pas te donner un pourboire"....c'est l'ange taquin ça une fossette apparait sur sa joue gauche, mélangée à un coup de langue sur ses lèvres....
Je me lève, me dirige dans les toilettes (acte II) et 20 secondes plus tard, la commerciale apparait....
"Je n'accepte que les gros pourboires", me lance t elle.....
Sa main dans le même moment tâte mon entre-jambe et le prend à pleine main....Nos lèvres se cherchent se débusquent, nos langues, sur un thème de salsa dansent de concert....ma main se glisse sous sa robe, elle ne porte rien (c'est une manie chez elle, je propose que le forum se cotise pour lui acheter des sous- vêtements)....
"Oh oui caresse moi ", ses lèvres n'ont pas bougé, c'est son sexe qui me dicte la marche a suivre....
Papy et papa avait fait dans l'humanitaire, je me dois aussi de répondre à l'appel à l'aide, d'un sexe…)
je n'écoute plus Erika mais son sexe; un doigt y pénètre, puis deux…
"Oui comme ça doucement"
Erika me regarde avec un regard interrogateur, se demande comment je peux répondre à ses moindre désir au bon moment....je lui souris
En guise de remerciement, elle se glisse le long de mon corps, un à un mes boutons s'effacent, mon jean glisse le long de mes jambes et elle m'avale, que dis-je elle m'engorge, mes pieds lévitent, je ne suis plus là tellement c'est bon....elle me transporte à des lieues, je n'en puis plus, ses mouvement sont de plus en plus rapide, ça bouche de plus en plus pressante, mon bassin bat la mesure sur le tempo de ses succulentes lèvres....
"Baise moi maintenant", son sexe est assez bestial dis-donc....mais je lui obéis, je la relève, l'embrasse, puis la tourne contre le mur...je relève sa robe puis me laisse guider jusqu'à son intimité....
"Oh oui, que c'est bon " s'extasie son sexe....
Le spectacle de sa courbure devant moi est si excitant que je ne peux me retenir longtemps, nous jouissons ensemble tels deux adolescents, je me déverse, jusqu'au plus profond de son être....un tel bonheur est-il seulement concevable ?
Elle se relève
"Merci pour le pourboire" termine-t-elle
"C'était booooonnnnnnnn" me remercie son sexe
Elle sort des toilettes....je fais une rapide toilette pour venir la rejoindre......
Nos mains s'enlacent et comme une évidence nous sortons du Quick pour terminer la soirée chez moi..............1 commentaire
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Par unangesucre dans Accueil le 19 Avril 2013 à 16:25
bip bip-bip bip-bip bip, il faudra un jour que je songe modifier ma sonnerie de SMS; elle a parfois le don de m'irriter....
"tu peux te connecter sur MSN, mon mari n'est pas la, j'ai envie de te voir...."
C'est bien beau que son mari ne soit pas la, mais moi, ma femme etait là....on vivait une soirée passionnante devant Koh Lontha quand je reçu le sms....."Chérie, ton emission m'ennuie legerement, je vais surfer un peu sur la vague"...
Je démarre le PC, ouvre ma session, ouvre MSN....
Voici un extrait de notre conversation:
Marie dit :
Bonsoir beau brun
UnAnge dit :
bonsoir belle brune
Marie dit :
desole de t'avoir dérangé, mais envie d'etre à tes cotes quelques minute
UnAnge dit :
l'envie est tout a fait legitime:)
Marie dit :
toujours le mot pour rire toi, c'est ca que j'aime chez toi
UnAnge dit :
tu aimes que ca chez moi?
Marie dit :
entre autre, mais tu ne m'as pas donne l'occasion d'apprecier d'autres choses...
UnAnge dit :
L'occasion fait le laron, ainsi parler zara(toustra) ou (white), je confonds toujours...il va falloir donc modifier cela pour que tu puisses apprecier d'autres qualités....
Marie dit :
Dis moi où et quand et je saurai decouvrir l'essence meme de l'ange
UnAnge dit :
Pour en apprecier toute sa saveur, il faut s'abbreuver de son nectar
Marie dit :
Si l'ange s'apprecie ainsi, j'aurai plaisir à puiser sa seve....
UnAnge dit :
Je pense que la meilleure des choses, afin que ton gout ne soit nullement influencer par les autres sens, les yeux bandés serait la meilleure des choses pour que tu profites de ce moment en toute quietude
Marie dit :
Tu proposes et je dispose
UnAnge dit :
Smile
Marie dit :
Wink
UnAnge dit :
ca fait combien de temps quon se connait
Marie dit :
un peu plus d'un mois je pense
UnAnge dit :
Mardi de la semaine prochaine, 12h, ca te va?
Marie dit :
sans problemes monsieur
UnAnge dit :
tu porteras un long manteau, ce manteau sera ton seul vetement, avant d'entre dans la chambre, tu te banderas les yeux, tu entreras,
tu ne diras pas un mot et tu te laisseras guider....cap ou pas cap?
Marie dit :
CAAAAPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP
Le decor tait donc campé...il nous aura fallu 5 minutes pour convenir ensemble de notre première rencontre et vraissemblablement, du deroulement de celle-ci....
J'avais fais la connaissance de Marie par le biais d'un forum...elle avait retorqué a un de mes posts farfelus et j'avais apprcie sa repartie;
37 ans. Mariée et heureuse en couple, elle m'appéreciait et souhaitait decouvrir d'autres choses; joueuse avec du caractere, elle ne se laissait pas faire et savait me rendre la monnaie de ma piece quand il le fallait...Bref de fil en aiguille, on s'est rapproché et la rencontre allait se faire.
Il etait donc convenu qu'on se retrouve dans une chambre d'un hotel sur Marseille...je devais arriver quelques instants avant, preparé la chambre (j'avais prévu d'y apporte une touche feutre autant que faire ce peu), et elle, devait donc frapper trois coups la porte.
Vêtue d'un simple manteau et un bandeau sur les yeux, j'avais concocté un scenario afin que nous passions ensemble un moment agerable....
Le jour venu, je troquais mon slip kangourou, mon jogging orange et mes mocassins, pour une tenue plus adequate, plus dans l'air du temps et plus adapté a la situation....
L'heure dit, j'arrivais donc devant la chambre....
J'ouvris la portes, les rideaux etaient tires, je penetrai dans la chambre et sans une ni deux ni trois ni quatre un bandeau s'installa sur mes yeux...je n'avais rien vu venir, et la surprise etait reelle...
"Bonjour beau brun, pas un mot, les roles sont inversés"
"c'est que madame, j'attends une personne"
"je m'en occupe, t'inquiete pas, plus un mot"
Je n'avais pas vu un visage, pas un regard...
Je sentais juste son parfum, ses mains sur moi qui me guidais dans la chambre. Le premier sentiment qui s'empara de moi etait la tendresse infinie avec laquelle elle me dirigea; pas un mouvement brusque, elle effectuait les mouvements avec douceur, volupté. Ses mains etaient tres douces aussi, ce qui accentuait cette impression de calme.
Elle m'assis sur le lit. Je ne bougeai pas. j'etais a l'ecoute de ses mouvements, c'etait elle le maitre de la partie car force est de constater que nous jouions tous les 2; il fallait que je lui fasse une entiere confiance, le gain du jeu etant son corps....
Assis sur le lis, elle adopta la meme position sur moi...je pu apprecier plus en detail son parfum et je fus autoriser a promener mes mains sur ses courbes...son souffle s'approcha de mon visage...je la sentai la tout proche de moi, mon coeur battait, sachant ce qui allait se produire...
Ses levres effleuraient mes joues, mon cou, puis mes levres...des effleurements, juste des effleurements mais o combien agreable...
Ce petit jeu dura une bonne minute, je sentais son souffle sur mes levres, ses levres jouaient avec les miennes,
une extreme sensualité se degageait d'elle....
Toujours a sa mercie, elle commencea a oter mes vetements, methodiquement. La douceur que j'avais percu se confirma et je me laissai faire sans aucune protestation aucune (il ne faut jamais contrarier une femme, oh non jamais....)...
Cette etape effectuée, elle reprit ses jeux de levres sur mon corps, en y associant cette fois-ci la langue. Telle la grande boucle, elle commencea un contre la montre sur mon visage, mon cou, mes oreilles (mes lobes d'oreilles surtout)...suivie l'etape de montagne de ma poitrine pour terminer par le sprint final autour de popol....
A ce moment la, une reelle frustation s'empara de moi : marie, a genoux a mes pieds, qui en tant normale serait a l'ecoute de mes moindres desirs....la situation etait completement inversée...
Marie etait certes à genoux, mais je la voyais pas, je ne voyais pas son regard...je l'imaginais tout du moins et son apprivoisement de popol evinca tres vite ce sentiment de frustation pour laisser place un reel plaisir....
Popol etait deja a son apogée quand elle commencea par y deposer un baiser...un et unique baiser qui declencha une premiere vague d'extase...elle entreprit rapidement, sans rien faire dautre, de le prendre a pleine bouche puis de rester ainsi. Au moins au chaud, popol n'aura pa pris froid...
Une chaleur sexuelle habitait sa bouche....sa langue titilla mon gland et de lent vas et vient avec sa bouche me transporterent hors de la chambre....ce fut lent, langoureux, doux, bref terriblement bon. 5 minutes d'extase ou Marie ne variait pas la cadence...
5 minutes au bout desquelles ses mains vinrent se meler la fete foraine....(j'avais attraper l'pompon au manege, ca ne faisait aucun doute)....
ses mains suivaient le meme ryhtme, et je ne pus qu'apprecier. Le plaisir approchait de son paroxysme et Marie sentait bien que l'eruption volcanique etait proche, et au lieu de mettre les femmes et les enfants l'abris, elle continuait inlassablement son etude sismique du volcan....
Et bien entendu, celui-ci finit par laisser evacuer sa lave, lave que Marie recupera intgralement dans sa sainte bouche....
"Delicieux nectar" laissa t-elle echapper
"Delicieuse bouche" la felicitai-je
"Mes mains sont aussi tres adroites...."
"Je n'en doute pas"
elle m'allongea sur le lit, le ventre sur le matelas.
Un gel glacial vint se deposer sous mon dos, contrastant avec la chaleur du moment precedent. ses mains commencerent un massage que je ne pus qu'apprecier. Marie avait dcidement de multiples talents, multiples talents que je savais apprecier leur juste valeur.
Ce fut un moment reposant, calme, l'image de Marie, moment durant lequel je m'evada un peu je l'avoue...
Elle me retourna sur le dos...
"L'ange Sucre, je vais te deguster a present....."
Je me demandais bien ce qu'elle voulait entendre par la, et mon interrogation fut vite rcompense. Elle tartinait purement et simplement certaines parties de mon corps de nutella....pourquoi pas je me suis dit, si ca peut lui faire plaisir...
Mes yeux toujours bandés, sa langue parcourait mon corps afin d'y recueillir les betises quelle y avait seme...
Une premiere main recommenca caresser popol, rapidement suivie par sa seconde main. Une troisieme main vient caresser mon torse!!!!!!!
Surpris, ma premire reaction fut d'enlever mon bandeau....je reconnus le visage de marie, avec un sourire eloquant et attirant...
Une seconde femme etait presente, une inconnue pour moi, mais pas pour Marie apparament qui l'embrassa a la vue de mon air surpris....
Marie avait donc convie une seconde femme, seconde femme qui etait la depuis le debut....bref, j'etais completement comble, deux femmes devant moi se caressait, s'embrassait et j'assistai a ce spectacle.
Le paradis existe bel et bien.......1 commentaire
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Par unangesucre dans Accueil le 19 Avril 2013 à 16:22
Comme vous le savez - ou comme vous ne le savez pas -, je travaille à Marseille.
Marseille, seconde ville de France, mais seconde ville de France en partant de la fin en matière de transports en commun. Bref, je vous en ferai pas ici la non-apologie mais je pense que c'est bon à savoir pour les évènements narrés ici. Comme bon nombre de travailleurs marseillais, j'arrive donc tous les matins relativement à la même heure sur Marseille, gare ma voiture dans le parking du métro, prends le métro et arrive sur mon lieu de travail 3 stations plus tard. On croise toujours les mêmes têtes dans le métro - je sais pas si vous avez remarqué, mais tout le monde a ses petites habitudes : arrivée à la même heure, toujours le même wagon - voire le même siège-. Moi, je prends toujours le dernier wagon et m'assois toujours vers le milieu.
Au début de cet été, vers le mois de juin à peu près, j'avais remarqué qu'une jeune femme (toujours la même heing), prenait le même métro que moi et s'asseyait toujours au fond. C'était une jeune femme brune, cheveux mi-longs avec une légère permanente (je suis pas spécialiste des termes, mais je crois que c'est ça quand ça fait des ptis ressorts) tombant sur un visage d'ange. Ses tenues vestimentaires étaient toujours décalées mais lui conféraient un style qui lui allait très bien...bref, autant vous dire que j'étais sous le charme. Tous les matins donc, je la regarde, l'observe (tout en essayant d'être discret...bien que je sache que j'y arrive jamais).
Au début du mois de juillet, un soir, je rentre du boulot, sors du métro pour rejoindre le parking où je gare ma voiture et la voilà là, marchant devant moi au milieux d'autres passants. Dans ma tête, je me dis que c'est le moment où jamais, que je ne dois pas laisser passer ma chance....en même temps, sachant que je vais me faire recaler monstrueusement, j'hésite à l'aborder. Elle continue de marcher et se dirige vers l'entrée du parking (YESSSSSSSSSSSS).
Elle est devant moi, je la suis de très près; au moins là, il n'y a personne et si je me prends un vent, j'aurai moins honte :
"Salut, tu serais pas la fille qui prend le métro tous les matins au fond du wagon ?"
"Si, si, c'est moi"
"Ca te dirait qu'on déjeune un midi ensemble ?"(Alors là mes amis, je sais pas ce qui m'est passé par la tête pour dire ça, mais c'est l'approche la plus horrible que j'ai pu faire de toute ma vie)
"Non désolée, je peux pas" (pffff, tu parles, je suis trop nul)
"C'est juste pour faire connaissance" (et on continue dans la nullité, au point où nous en sommes)
"Il fallait arriver 7 ans plus tôt"
"Tu crois au destin ?" (ce fut un festival, il fallait être là pour le croire)
"Euh...."
"Ecoute, pile ou face ? Pile, on déjeune ensemble, face, je t'embête plus".
Elle sourit légèrement (et ben voilà......),je lance la pièce, et là faut croire que le tout puissant m'en veut.....la pièce tombe sur face....Grrrrrrrrrrrrr. Elle re-sourit et conclut par un "bonne soirée..." et la voilà filant vers son étage...Au moins j'aurai essayé, que je me suis dit....
Les vacances se passent, je la croisais de temps en temps dans le métro, on échangeait un léger sourire mais ça s'arrêtait là...Je ruminais souvent à l'intérieur de moi...Je me suis toujours questionné sur ces femmes qui vous disent non, mais qui vous sourient...de manière équivoque. Oui, je ne ferai pas un cours sur les sourires, mais vous n'êtes pas sans savoir qu'il existe bon nombre de sourires, et tous ont une signification précise quand on les combine à des situations, des lieux, des personnes. Bref, je n'avais pas abdiqué, mais je laissais faire le temps.
A la fin du mois de septembre, alors que je me dirigeais encore vers ce parking (en fait, j'y vais tous les jours à ce parking), de loin je vois qu'à l'entrée il y'a un bordel monstre : camions de pompier, gendarmerie, bref tout le tintouin....je me renseigne rapidement pour savoir ce qui se passe : il 'ya le feu au niveau -4 (pinaise de ... ma voiture est au -4 ou -5...me rappelle pas); quoi qu'il en soit, tout le monde est obligé d'attendre à l'extérieur que les gens compétents fassent leur travail, en espérant que mon véhicule ne sera pas trop touché.
Je m'assois donc sur un petit muret comme tout le monde en attendant et qui je ne vois pas arriver au bout de 5 minutes...Si si si si, c'était la fille du métro.
Inquiète, elle se dirige vers moi pour savoir ce qui s'y passe (allez savoir pourquoi c'est vers moi qu'elle s'est dirigée...), je lui explique brièvement et lui dis que la seule chose a faire est d'attendre.... Moi assis sur le muret, elle debout en face de moi, nous commençons à discuter (y avait que ça à faire)...et de fil en aiguille, j'arrive à lui faire enlever doucement son armure qui la protégeait...elle se déride, sourit à mes boutades (et dieu sait qu'en matière de boutades, j'en ai un stock), se lâche peu à peu....si bien qu'au bout de 1h30-2h (merci les pompiers), on en arrive à se chamailler gentiment....
Les pompiers ayant terminé leur travail, nous sommes invités à rejoindre nos véhicules (j'étais bien au -5 )....et avant de la quitter, je lui lance "On déjeune ensemble demain?"
Elle me regarde dans les yeux (grave erreur, je vous en parlerai plus tard de mon regard hypnotique )"OK, mais vite fait alors...
Le lendemain midi, il était convenu de se rejoindre dans une brasserie(la même tant qu'à faire....). Le fait d'avoir pu échanger la veille pendant un bon bout de temps a enlevé ce poids que vous avez quand vous rencontrez une personne que vous ne connaissez pas trop; j'étais donc impatient de la revoir. Et la revoir aussi vite signifiait également qu'on pouvait continuer sur notre discussion de la veille sans trop de mal.
Elle arriva avec 15 minutes de retard (vous connaissez les femmes...); le repas se déroula dans la continuité de nos échanges, le courant passait, le courant passait vraiment bien...A la suite de ce déjeuner, on s'est revus plusieurs fois, dans le métro, pour déjeuner, on a communiqué par mail - on s'entendait bien et on aimait se voir-.
Au début du mois de décembre, je suis parti en vacances 20 jours. A mon retour (la semaine dernière), pour mon premier jour de reprise, je l'ai revue dans le métro; son visage illuminé, son regard pétillant dès qu'elle m'a vu m'ont fait chaud au coeur; je suis allé vers elle et je lui ai déposé un baiser sur les lèvres; elle n'avait pas l'air de s'y attendre mais c'était la seule chose à faire à ce moment. Je me suis écarté d'elle pour observer sa réaction; elle souriait.
"Je t'ai pas trop manqué ? " lui ais-je lancé d'un air sur de soi (de moi)
"Un peu, mais sans plus" (la taquine..)
"Tu m'attends ce soir, on rentre ensemble?"
Sa seule réponse fut un sourire... Le soir venu, elle m'attendait effectivement à la sortie du métro; elle tournait le dos à la sortie, je me suis approché d'elle doucement et l'ai étreinte de toutes mes forces en déposant un baiser dans son cou. Sa peau douce sur laquelle courait un parfum frais et délicieux était parcourue par un léger frisson. Elle se retourna, me fixa du regard...l'affaire était entendue.
Mes mains sur ses épaules, elle descendait devant moi les marches de l'escalier menant à sa voiture. Elle s'installa dans sa voiture, sur la banquette arrière, se mit un peu plus à l'aise. Je fis de même...Elle était belle - enfin, les critères de beauté étant très subjectifs, je dirais plutôt qu'elle avait du charme et moi beaucoup de chance d'être à ses coté à ce moment. On se regardait, se jaugeait...Je savais qu'elle n'avait pas beaucoup de temps (comme ça, mon problème d'éjaculation précoce passerait inaperçu ) ...je m'approchai d'elle, la fis monter sur moi à califourchon.
Nous étions tous les 2 habillés. Je l'embrassais fougueusement, encore et encore. C'était si délicieux....Je passais mes mains sur son dos, sa nuque, ses épaules. Elle portait un chemisier dont je m'empressai d'aller explorer les dessous. Son dos transpirait déjà - il faut dire aussi que les vitres étaient closes et on voyait la buée se former sur les vitres. Mes mains parcouraient son buste et après avoir bien tâté l'arrière, commencèrent à revenir devant; elle avait une petite poitrine, deux petites poires ornaient ses seins. Deux petites poires dont les queues étaient déjà bien formées...
Ses mouvements sur moi commençaient à se faire significatifs, et les frottements de plus en plus appuyés. Elle défit mon bouton de pantalon et là je dois avouer que la prosmiscuité de la voiture ne nous aida pas. D'un moment charnel et sensuel, nous tombâmes dans une situation gênante : elle comme moi nous ridiculisions à vouloir enlever nos pantalons respectifs, et vous vous imaginez bien que dans une automobile, ce ne fut pas pratique du tout du tout...
M'enfin, nous finîmes par y arriver, et pour faire remonter la pression, elle ne trouva pas d'autres alternatives que de se mettre à genoux et d'approcher ses mains de mon sexe...D'abord par des caresses, ses mains effleuraient à peine ma verge, qui retrouva rapidement de sa quintessence. Mon gland sortit, elle entreprit d'y déposer un premier baiser....puis un second; ses mains passaient de mon torse à mes lèvres puis à la base de ma verge; sa bouche, par de va-et-vient savamment orchestrés engloutissait de plus en plus ma verge, qui en témoignage de sa bonté continuait sa croissance. Alors que sa bouche diminuait le rythme, ses mains quittaient mon corps pour aller rendre visite sous son boxer. J'entendais des bruits témoignant de son humidité déjà bien avancée. Je la relevai, lui enlevai son boxer pour l'asseoir sur moi. Elle dirigea mon sexe vers le sien, chaud et bouillonnant de plaisir. Nos regards se croisèrent, se fixèrent et elle descendit doucement en me regardant droit dans les yeux. Elle renouvela l'opération aussi délicatement : se releva pour redescendre son sexe sur le mien; elle resta un moment en bas et se toucha en même temps son clitoris.
Elle me fixait toujours du regard, et une nouvelle expression que je n'avais point encore remarquée vint habiter son faciès. Et se mordilla la lèvre (celle du dessous) et se fit plus insistante sur mon sexe au point de rejeter son visage en arrière et fermer les yeux à demi. Je la tenais par les hanches et renouvelai les va-et-vient de plus en plus fort; je voulais qu'elle me sente au plus profond de son être, de son corps, loin. Elle transpirait de plus en plus et je la sentais partir vers des plaisirs que nous, hommes, ne soupçonnons même pas (enfin si, tout de même un peu).
Apres un léger tremblement de son bassin, elle ralentit ses mouvements et se retira de moi....elle s'agenouilla à nouveau et prit mon sexe dans la bouche en me regardant avec insistance; je ne mis pas longtemps pour me déverser totalement dans sa bouche avec un plaisir non dissimulé.... Nous nous rhabillâmes. En partant, je lui dis juste : "A demain...."
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Par unangesucre dans Accueil le 1 Mars 2013 à 17:01
Nous sommes vendredi après-midi. Les clients viennent à peine de partir. Nous étions en concurrence avec deux autres boites pour la démonstration de ce matin; cette démonstration, ça doit faire un bon mois que nous la préparons tous. Ces longues journées de travail ont amené pas mal de pression et de stress que Xavier, notre responsable, voulait faire partir en nous offrant un pot.
Xavier est devenu responsable de l'équipe technique voilà maintenant 5 ans. Son charisme, son expertise technique et fonctionnelle ont fait de lui un responsable évident. Un bon mètre 85, châtain clair, le personnel féminin de la boite n'est pas insensible à ses traits prononcés et virils; mais Xavier est marié, depuis de longue date maintenant, et à ma connaissance, est d'une droiture (au sens figuré, hein….pas dans son pantalon) irréprochable.
Il était convenu, une fois la démonstration terminée, une fois les clients partis, de se retrouver tous dans un bar salsa, dans une rue pas très loin du port.
Il est un peu plus de 15h, et voilà la joyeuse troupe en route pour un pot caliente. Les cocktails s'enchainent et la soirée arrive assez rapidement. Il ne reste plus qu'un groupe de 7-8 personnes, écoutant les anecdotes de Xavier. Le début de soirée amène avec lui son lot de before-people et Xavier propose qu'on termine la soirée chez lui.
Il n'habite pas très loin et nous arrivons devant sa bâtisse aux alentours des 23h. Imposante et de hauteur sous plafond impressionnante, nous entrons dans son hall d'entrée où sa femme, en robe de chambre nous accueille, assez froidement. Après une remarque sur l'heure de rentrée de son mari, de surcroit accompagné de personnes pas très sobres, elle remonte les escaliers vers sa chambre semble t-il.
Marie, la femme de Xavier, est responsable de patrimoine je crois bien; Xavier nous en parle de temps en temps et d'après ce que j'ai pu comprendre, c'est une femme assez froide, distante et autoritaire. Je me rappelle qu'elle était venue une fois au bureau, en tailleur jupe...nous, pervers en devenir de la boite, avions bavé allègrement et pas mal de blagues de bas niveau avaient fusé à son égard.
Xavier nous invite à nous installer dans une pièce qui me parait être un jardin d'hiver...dans laquelle les plantes, fatiguées de ne pas être entretenues, semblent faire la grève pour certaines, et d'autres ont pris depuis longtemps un long congé sabbatique. Xavier continue ses anecdotes, et nous écoutons quand il disserte, rions, quand une blague fuse...bref, l'ambiance est bon enfant.
La soirée avançant, la nuit arrivant, l'heure de regagner le foyer conjugal approche; ayant un peu bu (tout est relatif hein), je préfère me vider (la vessie bande de cochon) avant de repartir de la demeure de Xavier. Xavier me répond que les toilettes se cachent derrière une des portes de l'étage quand je lui demande leur localisation exacte.
Je me trouve dans un état pas très net et la simple montée des marches me donnent un léger vertige. Arrivé à l'étage, Xavier a oublié de me préciser qu'il avait eu une ristourne sur les portes et que beaucoup peuplent l'étage. J'entends déjà à l'entrée les autres se souhaitant bonne soirée et il me tarde de trouver la bonne porte pour partir à mon tour.
Après un bref Amstragram, je me décide sur une porte. A l'ouverture, un "dépêche-toi" me fait tressaillir. Oups, ma maladresse légendaire n'est (encore) pas une légende. La pièce est sombre. Au lieu de rebrousser chemin, mon cerveau étant envahit par les vapeurs d'alcool (déjà qu'en temps normal, c'est pas un foudre de guerre...), je rentre dans la pièce et prends soin de refermer derrière moi.
J'avance à petit pas (très petit pas). Imaginez, légèrement lobotomiser , vous progresser dans une pièce que vous ne connaissez pas...Je heurte un montant de lit...bon ben j'y suis, autant en profiter (en essayant de pas penser aux éventuelles conséquences - car je suis persuadé que conséquences, il y aura).
Je monte sur le lit, me déshabille (pépère fait comme chez lui), et me glisse sous les draps.
(aparté : l'alcool n'a aucun effet sur les pouvoirs raidissant du pénis, celui-ci est un organe indépendant et vit sa petite vie tranquillement sans se soucier des aléas du corps. )
Marie me caresse et dépose un baiser sur mes lèvres, se blottit contre moi, et sent inévitablement mon excitation (j'aurais bien ajouté naissante...mais je voulais garder une certaine honnêteté dans le récit) confirmée ! Marie veut avoir confirmation de ses doutes, et ses mains se dirigent vers mon sexe; de témoin, elles deviennent complices de l'erection de mon arc.
Sa main entoure ma tour phallique et des va-et-vient s'interrompent brusquement. Elle allume la lampe de chevet, stupéfaite! Un léger sourire coquin, vient naitre au coin de ses lèvres.
Elle me regarde, pose ses yeux sur mon sexe, entreprend sans alerter les secours de le prendre à pleine bouche. D'abord timide autour de mon gland, sa bouche se montre de plus en plus entreprenante et gourmande. Ses mains alternent entre masturbation de mon pénis et caresses de mes bourses.
Moi allongé sur le dos, Marie à quatre pattes devant moi, me prodigue une fellation des plus appétissante. J'essaie de lui caresser ses petites poires subsissant la loi de la gravité, mais trop loin, je peux à peine les effleurer.
Blonde aux yeux noisette, son corps ne souffre d'aucun complexe, et rapidement, j'ai envie de l'explorer plus en détail. J'essaie de m'extirper tant bien que mal du piège qu'elle m'avait tendu pour me positionner derrière elle. Au passage, je l'embrasse fougueusement avant de me placer derrière son arrière train.
Elle toujours à 4 pattes, je dépose un baiser au bord de son pti trou avant d'aller plus bas. Elle écarte un peu plus les jambes afin de me permettre d'accéder plus facilement à sa caverne d'Ali baba. Ma langue y trouve le code rapidement, et un premier passage me permet d'apprécier toute la cyprine déjà produite depuis un moment.
De sa main, elle écarte ses lèvres m'invitant à plonger dans ses profondeurs abyssales. Sa main, pas en reste, joue, s'amuse avec son bouton que je vois gonfler, gonfler, gonfler. Sa production de liquide vaginal augmente, augmente, avec une respiration de plus en plus accélérée. Ses jambes se resserrent autour de ma tête, son corps s'étend d'un coup (aie aie aie ma tête), pour léger échapper un gros soupir...
"tu as une langue magique...prends-moi"
D'ordinaire, je suis plus difficile à convaincre, mais bon, là, je m'exécute. Toujours à 4 pattes, elle attrape mon sexe, le caresse rapidement pour le faire retrouver de sa vigueur, et le dirige (même pas besoin de GPS) entre ses cuisses. Elle joue un peu avec son clitoris avant de le faire arriver à l'orifice. Chaud et humide, je la pénètre sans aucune difficulté. Sentant que je vais jouir incessamment sous peu, je m'immobilise au fond de son vagin. Elle, elle n'arrête pas ses mouvements de bassins et je vois toujours pendre ses poires prêtent pour la cueillette.
J'entends ses gémissements, et je l'attrape par les cheveux pour l'embrasser, pendant que je la pratique. Elle a du mal à tenir la position, mais je lui maintiens les cheveux pour que je puisse voir son regard.
Je me retire de son vagin délicatement, afin de reprendre mes caresses buccales de son organe cible. Mes mains, mes doigts se melent rapidement à la fête; Marie, par des petits mouvements, des petits mots, me guide vers les parties les plus sensibles de son corps et naturellement, et c'est ainsi que je me rapporche doucement de son antre interdit. Mon pouce arrive en aide à ma langue partie en reconnaissance du terrain. Une faucette vient se creuser sur sa joue.
Je lui réponds par un sourire, et mon pouce, après avoir difficilement progressé, atteint subitement un espace beaucoup plus large. Elle me regarde, avec un air faussement étonné. Elle pose le buste sur le lit, relève sa croupe avantageuse, pose les mains sur chaque coté de ses fesses pour les écarter. La vision de son anus parfaitement ouvert accentue mon excitation. J'approche mon sexe de son petit trou, et l'introduis sans aucune obstruction. Doucement, je vais, et je viens (pas entre les reins). La voilà, totalement détendue, elle m'attrape la cuisse pour m'indiquer le rythme à prendre.
Le miroir sur le mur m'offre la scène aux premières loges. Marie aime ça et le rythme s'accélère. Alors que je sens que mon sexe va rendre les armes...la porte s'ouvre...Xavier...
Un temps interloqué, il se déshabille rapidement (ben voyons)....
Apparemment, la situation n'était pas étonnante pour tous les deux (ben voyons), et rapidement, il se positionne devant Marie pour que celle-ci le prenne en bouche (ben voyons).
Son sexe se soumet rapidement aux exigences de Marie, et je le vois se raidir...et ça m'excite.
Marie se relève légèrement pour pouvoir l'apprécier plus confortablement. Elle ondule des fesses pour me convier à continuer ce que j'ai entrepris, chose que je reprends rapidement. Xavier dans la bouche de Marie respire rapidement. Sa jouissance est proche. Je n'avais jamais vu un autre sexe libérer son liquide que le mien.
J'approche mes mains de son sexe, et pendant que Marie l'avale littéralement, je le caresse dans un premier temps, pour rapidement entreprendre de le masturber. Mon but assumé est de le faire jouir. Je peux le sentir gonfler sous mes mains, trembler sous ma masturbation. J'accélère le mouvement, encore et encore...jusqu'à sentir sa respiration s'arrêter; j'arrête le mouvement en même temps, je sens des spasmes passés sous ma main...la bouche de Marie se remplir; mon excitation est telle que je jouis en même temps dans son anus....
"Je te raccompagne pas" me dit Xavier
"Ça va aller je pense…."1 commentaire
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Par unangesucre dans Accueil le 1 Mars 2013 à 17:00
Avant de lire ce texte, sachez que je n'ai voulu heurter, blesser personne...je sais que je suis loin de la vérité, c'est juste un exercice de style auquel j'ai voulu me préter....donc je preconise pour les personnes ayant vecu cette situation (le viol) de près ou de loin de simplement de ne pas lire et d'ignorer ce texte.....
Arrivée à ma voiture, je me remémorais machinalement les evenements passsés. Que faire, appeler la police, appeler mon mari. Pour quoi faire, que dire, que j'ai pris du plaisir parce qu'un mec m'a violer. Pour raconter qu'un mec m'avais prise par derriere comme personne m'avais pris auparavant.
En repensant à tout ca, ma main etait sur mon string et dire que je mouillais peu etait loin de la vérité. Un ruisseau humide avait trouvé son nid au fond de mon vagin que mon jouet intime allait bientot remplir. Mes tetons durcit par la succession de plaisir intervenus au cours de la soirée étaient les honnetes témoins de mon envie. Mon jouet migra de mon clitoris à la bouche, de la bouche au vagin et il ne me fallu pa beaucoup de temps pour me sentir transporter....
Il m'empoigna le cou, me plaqua contre le mur, me souleva la jupe, me dechira le string. Le mur exercait une pression douloureuse sur ma joue sous sa main autoritaire sur mon crane. Je le sentais derriere moi, melange de sueur et d'alcool, il ne bougeait plus, sa main m'immobilisait. Je devinai son pantalon tombé ses pieds, son boxer n'etait plus....je ne voyais rien, il etait dos à moi et me tenais fermement le visage pour que je me retourne pas.Je fermais les yeux. il se branlait, il preparait sa verge, je le savais, je le voulais.
Je me debattais tant bien que mal mais au fond de moi, je n'avais quune seule envie....Il passa la main sur ma vulve bien gonflée qui ne pouvait dissumuler mon envie profonde....il me violait, et moi je voulais qu'il me pénetre d'une violence inouie. Le passage pour le parking etait souvent emprunté par les clients; il le savait, il devait se depecher....il me serrait plus fort le cou, m'obligeà me pencher en avant, m'ecarta les cuisses et me penetra; son sexe etait dur et chaud, je ne pu m'empecher d'emettre un cri jouissif de delivrance.
"tu aimes ca salope" me lacha t-il
"depeche toi de terminer connard"
je ne voulais pas qu'il me voit prendre du plaisir.
Ses vas et viens se firent plus brutaux, plus rapides, plus......excitants; il se delivra tres vite dans mon vagin. Je me retournai et il avait deja disparu.
La soirée battait son plein. J'étais arrivée assez tot ç la discotheque "Pincho Pingo". J'avais dit mon mari qu'on sortait entre filles ce soir et que je devais les retrouver l'intrieur. Le disc-jockay enchainait les tubes. Pendant que je jouais de toute ma sensualit sur le dancefloor, je sentis une main passe derriere sous ma jupe. Je m'en ecartais mais la main se faisait plus pressante. Je me retournai pour bien faire comprendre qu'il pouvait continuer sans moi. Ses yeux d'un brun profond me fixait, m'hypnotisait presque. Je lui lancais une gifle devant tout le monde afin de pouvoir continuer la soirée en paix. Le message fut apparament recu correctement puisque plus personne ne vint entreprendre quoique ce soit concernant ma personne. Je m'étais bien amusée et il était temps pour moi de rentrer à la maison. Un aurevoir rapide à mes amis et je pris tout naturellement la direction du parking pour aller récuperer mon véhicule. Le parking était désert et peu éclairé. J'étais presque arrivée à ma voiture quand je sentis une présence derriere moi; un rapide coup d'oeil me permis de distinguer l'homme de la discothèque qui se faisait pressant. Je n'eus pas le temps de réagir qu'il m'avait déjà attrapé le bras pour m'emmner dans un coin encore plus sombre.
C'etait la fin de la journée, de la semaine même. En ce vendredi, 2 réunions venaient terminaient une semaine de préparation et de travail intensif. J'avais envie de m'amuser, de me défouler pour oublier cette semaine fatigante. Des amis avaient prévu de sortir. Ma tenue était déja prête: une jupe, un chemiser blanc et pour les dessous, j'avais opter pour une paire de bas et un ensemble string-soutien gorge en dentelle noire que je m'étais offert la semaine précedente. Un dernier verre à la maison et en route....1 commentaire
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